Alors que la métropole a présenté son rapport annuel sur la qualité, le prix, et l’efficacité de son service de collecte et de revalorisation des déchets, c’est l’occasion de faire le point sur ce qui se cache vraiment derrière le tri sélectif.
Avant la trêve estivale, la Métro a dressé un bilan de la collecte et la revalorisation des déchets pour 2015. Une année importante, celle du passage en métropole, qui a conduit à une transition due à l’élargissement du périmètre et au transfert de la compétence, engageant une réorganisation du service. 2015 aura ainsi permis de « stabiliser la capacité humaine d’intervention » en s’adaptant aux dimensions nouvelles, et d’organiser « notre territoire en quatre secteurs pour une amélioration de la proximité avec nos habitants […] et pour de meilleures conditions de travail pour nos agents », lit-on dans le communiqué du président Ferrari et du vice-président à la collecte et la valorisation des déchets, Georges Oudjaoudi.
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