Le XXIe siècle sera vert, ou ne sera pas. Telle est visiblement l’ambition du SMTC (Syndicat mixte des transports en commun), qui conviait la presse, cette semaine, à venir découvrir son parc de bus hybrides. Quelque 40 véhicules de ce type – 14 autres devraient arriver dans les mois à venir – sont désormais en circulation, sur un parc total estimé à environ 230 bus.
Tout beaux, tout neufs, ils sont confortables, et leur alimentation (au diesel et à l’électrique, selon la configuration de conduite) offre davantage de souplesse. Un atout non négligeable quand on transporte des dizaines de personnes ! Ajoutez à cela « un très bon poste de conduite, très agréable », selon le chauffeur, et vous obtiendrez un spécimen qui fait l’unanimité.
Un premier pas
Cela vaut mieux car, comme l’admet Yann Mongaburu (EELV), président du SMTC, « c’est un investissement important, de 26 millions d’euros ». Une somme destinée à lancer « le pari de la transition énergétique, et l’amélioration du confort ». Car le choix du comité syndical fut unanime, en 2014 : il faut « organiser la sortie des bus au diesel, d’ici 2020 ».
Lire l’article sur Le Dauphiné Libéré
crédit photo © Le Dauphiné Libéré